lundi 21 avril 2014

76. Sérénité

Quelques nouvelles.
Je me repose.
Cure de silence, de calme, de plénitude.
Je cuisine, je dessine, je fais du crochet, beaucoup. Je bois du thé, je joue avec mes lapins avec un jeu d'intelligence spécial pinous, je fais de l'elliptique tranquillement, je m'occupe de ma maison.
Je ne regarde plus (trop) mon téléphone, j'ai presque déserté le net (presque, les tutos de crochet étant sur ytb, je suis ben obligée de me connecter).
Je suis bien.

(... Oui, si on regarde bien, la fleur est bizarre parce que j'ai fait un pétale en trop. Je ne sais pas compter...) 

lundi 7 avril 2014

75. Fail

Bon. Si le moral remonte, la résistance mentale aux achats inutiles, elle, décroît. M'enfin, c'est pas très grave.
Nous sommes le 7 avril et j'en suis déjà à 35 + 85 euros d'achats inutiles. Hum hum. Sachant que normalement, ce mois-ci je toucherai beaucoup moins because grève. Hum hum *bis*
Bah, j'en mourrai pas. J'en suis à 75% de mon but ultime de l'année, ça reste encore gérable.

Sinon, vous saviez que mon ex-cousin était un enc... lui aussi ?

Il y a quelques temps, il avait déclaré que ma grand-mère était injuste (+ autres mots/adjectifs) car elle ne faisait jamais rien pour lui (aka, ne lui donnait pas d'argent). Mwokay. Euh. Ma grand-mère a eu une longue crise de "pas d'thunes du tout" et donc, parce qu'enfin, elle réussit à vendre son appartement pour 130.000 euros, et qu'elle peut enfin combler ses dettes et se détendre un peu, tu voudrais qu'elle te fasse chèque sur chèque ? Elle t'accueille, elle te fait à bouffer (et on parle de la cuisine de mamie, hein, c'est pas une patate et un brocolis), elle t'aide quand elle peut et tu dis qu'elle fait rien pour toi ? Mais putain, et toi ? Ma cousine, avec son taff et son gamin et sa situation cheloue (habite chez ses beaux-parents car achat d'un appartement sur plan), elle va quand elle le peut lui faire les courses, l'emmener chez le doc, à la banque, va la voir sans arrière-pensée, et toi parce que tu fais genre 3 fois les courses dans l'année t'as cru que ta grand-mère devait te payer ?
Quand ça c'est sorti, j'ai considéré que je n'avais plus de cousin. (Mouais je suis radicale mais putain, tu dis pas ça de ma grand-mère, aussi casse-burne qu'elle puisse être) (de toutes façons mon cousin a toujours eu une mentalité que je n'ai jamais blairé, genre, j'ai des allocs, je vais me faire virer, je vais demander de la thune, je je je, j'en fous le moins possible, etc)

Sont donc passés quelques mois. A noter que ma mère a fait un peu pareil et que de toutes façons, lui, comme on ne lui donne pas d'argent, il a coupé les ponts, aussi.

Ma tante a un appartement à retaper à Toulon. Et comme ma mère est co-conne très gentille, elle va souvent passer ses week-ends à se faire chier à aller retaper son appartement avec ma cousine et, parfois, mon cousin (ouais quand même, des fois il se bouge pour sa mère), au lieu de se reposer, hein, c'est vrai, c'est mieux d'aller travailler à 80 km plutôt que profiter de ses week-ends, pour sa soeur qui a (aussi) coupé les ponts pendant une bonne dizaine d'années avant de revenir depuis 3 ans, environ, vaguement. HUM BREF PASSONS.
Donc, ma mère avait depuis qq temps des contacts étroits et limités avec mon ex-cousin.
Ma grand-mère rechutant en pleine dépression, ce we, elle n'est pas allée à Toulon, mais c'est MON PERE qui y est allé. BON.
Je passe encore sur ça, parce que ça me casse les ... que mes parents ne se reposent pas et bossent gratos pour des gens qui ne le méritent pas, MEME SI C'EST LA FAMILLE.

Anecdote UNE : tout le matériel a été acheté par ma grand-mère : pinceaux, peinture, bâches, etc. Comme il y avait un surplus, ils ont pu revendre 20 euros le gros pot de peinture à un mec de l'immeuble. Et là, mon ex-cousin, tranquille, qui voulait garder les 40 euros pour lui. Normal. PUTAIN. Surtout que c'est ma cousine qui l'emmène hein, jamais il paierait l'essence / péages, non. A la limite si ça aait été ça, en dédommagement pour l'essence et tout, j'aurais pu comprendre, mais non. Je vois de la thune, c'est pour moi. Déjà, je me suis à moitié étranglé au téléphone en entendant ça. Et ...

Anecdote DEUX : mon ex-cousin (je ne sais pas s'il a encore un taff) est un couple avec une nana beaucoup plus vieille qui a déjà un gamin de 14 ans.  Mon cousin en a 30. Mais ça le regarde... Et donc, il veut un gosse. Ils essaient depuis quelques mois. Et... si au bout de 5 mois ça ne marche toujours pas, monsieur a dit à mon père que ce serait PLUS LA PEINE ET QU'IL QUITTERAIT SA MEUF. PAAAAAARDOOOON ????
Alors là, j'ai dégueulé mentalement sur mon ex-cousin.

Désolée, mais je suis adoptée, alors les liens du sang, ça ne représente que peu de choses. J'en ai rien à foutre que ce soit "mon cousin", pour moi c'est devenu un sacré enculé de merde.
Voilà.

J'écris beaucoup en ce moment, ici.

Sûrement parce qu'ayant abandonné la Greuh, ayant fini mes bouquins, je m'ennuie un peu....
J'ai du mal à dessiner en ce moment, mon esprit est bcp trop confus. Donc je blablate.
Jusqu'à quand, je sais pas. Mais je blablate.

Bonne soirée !

dimanche 6 avril 2014

74. Vied'meuf

Sinon, comme je vais bien, je râle : PUTAIN SERIEUX MAIS J'EN AI RAS-LE-CUL D'AVOIR MES REGLES DEPUIS 10 JOURS PILULE DE MERDE DE MES DEUX.
Genre, haha, t'as pas tes règles pendant deux mois (ça c'était avant l'oubli hein, on s'détend) et puis bam, effet kiss-cool, tu vas les avoir pendant 2 semaines.
Chiottes, quoi.

73. Debout

Hier, ça n'allait pas. A vrai dire, toute la semaine, ça n'allait pas.
Aller au travail, le ventre serré, être incapable de manger, boire du bouillon pour se réchauffer à midi, ruminer, ressasser, et pourtant, travailler. Corriger, apprendre, répéter, gérer, répondre. Être à 100% de 9h à 16h35 puis se dégonfler comme un ballon vide quand retentit la dernière sonnerie de la journée.

Je l'ai sentie arriver. Lentement, insidieusement. J'ai appris à la détecter.

Alors, j'ai lutté. Le matin, je mangeais le plus possible (un café, un yaourt, mes cachets), le soir, je me rattrapais, la douche et les livres ayant fait évacuer momentanément le stress de la journée, mes intestins se desserraient et acceptaient riz, pâtes et oeufs. J'ai lu, beaucoup, ai fait des choses qui me plaisaient. Mais malgré tout, les bas sont devenus plus forts que les hauts.

Vendredi, en me levant, j'avais envie de pleurer et de crier, en même temps. Tout s'est mélangé d'un coup, au réveil.

Parce que j'ai déconné avec ma pilule, puis enchaîné avec des règles bizarres qui ne s'arrêtent pas, nous n'avons plus rien fait depuis plus de 20 jours et, malgré la tendresse et les baisers, malgré toute la raison qu'il me reste, c'est la pensée maligne et sournoise je suis hideuse et il ne me désire plus qui prend le dessus, peu à peu. Pensée qui se transforme, évidemment, en il ne m'aime plus.

Parce que je sais que je ne vais entendre que des malheurs, j'évite d'appeler mes grands-mères, ce qui me fait culpabiliser. Mais je sais, je sais que l'une va se faire hospitaliser parce qu'elle souffre physiquement et surtout, moralement, mentalement, le spectre de la dépression revient, plus fort que jamais, je sais que l'autre continue ses éternelles jérémiades insupportables, j'ai mal j'ai mal j'ai mal je suis seule, je sais que ma mère n'est pas heureuse à son travail, je sais, mais là, je ne peux pas, je ne peux plus absorber ni plainte ni requête.

Parce que le travail de celui que j'aime devient lourd et l'énerve, il m'en parle de plus en plus, lui qui pourtant ne se plaint jamais, raisonne toujours, reste rationnel jusqu'au bout. Oui mais là, on le prend pour un con, de plus en plus, alors, comme moi, ça le ronge, il rumine, nous parlons, mais nous ne pouvons pas changer le monde.

Vendredi, j'ai craqué.
Après une énième connerie du ch3f qui convoque, par la secrétaire, une collègue en plein cours, pour un motif dégueulasse et irrecevable, j'ai eu envie de le frapper. Je me suis mise à crier, hurler que c'était un fils de pute qui ne voulait pas convoquer cette connasse qui fait de la merde, mais alors, convoquer et harceler les gens biens parce qu'il ne les aime pas, ça, il sait faire. Mes collègues m'ont calmée, nous nous sommes calmés, nous n'avons pas pris les élèves, nous l'avons pris en otage, il s'est excusé une heure plus tard, après tentatives de mensonges éhontés et de justifications merdiques. Il n'en pensait pas un traître mot et nous ne lui faisons plus confiance, mais il s'est au moins excusé. Cet enculé. La journée s'est terminée, cette fois, je n'ai même pas pu finir mon "bol d'eau chaude". En rentrant, je suis allée faire des courses, mais je suis parvenue à rester raisonnable. Je n'ai "englouti" qu'un sachet d'amandes et des tartines au chocolat.

Mais le samedi, j'avais encore envie de manger, même sans avoir faim. Alors, j'ai mangé, sans en avoir envie, toute la journée. Du pain, des céréales, des pommes, du chocolat, des frites, des nouilles, des beignets de légumes, des makis d'avocat, des yaourts, des pommes, des boissons, la crise n'a pas duré 20 minutes, elle a duré toute la journée, je me levais, mangeais, retournais manger 15 minutes après, incessamment, continuellement, jusqu'à ce que mon estomac me supplie d'arrêter, le soir, mais non, encore, il en reste encore, il faut finir, les nouilles froides, les litchis, le pain, le lait, encore, encore.
Et puis je me suis levée.

Mais cette fois, ce n'était pas pour aller manger.
Je suis allée dans la cuisine. J'ai pris une cuillère. Un verre d'eau. Des mouchoirs. Je suis ressortie.
Presque inconsciemment, je me suis retrouvée dans les toilettes. A genoux. Avant même d'ouvrir la bouche, je pleurais. Mais dès la première toux, il est arrivé. Qu'est-ce que tu fais ? Ca va ? Tu vomis pas, hein ? Dis ?  En un éclair, j'ai tout caché, me suis rincée la bouche, j'ai répondu, je suis sortie. J'ai attendu 5 minutes pour le rassurer, puis suis allée me doucher.
En me déshabillant, j'ai ri, tout en pleurant, tout en me détestant. Mon corps était devenu grotesque, infâme, tous les aliments avaient commencé à remonter, mais n'ayant pu les régurgiter, ils étaient restés en haut, tout en haut de l'intestin, ma taille avait gonflé de 17centimètres mais mon ventre était resté presque plat. J'étais une espèce de monstruosité anatomique. J'ai ouvert l'eau, et, c'est là, pathétique et déplorable, dans la baignoire, que j'ai continué. C'était effrayant. Effrayant de voir à quel point le corps se souvient. Il se souvient de tout. De la façon dont il faut procéder pour vomir sans tousser, cette fois, de la manière dont la langue doit se tordre, effrayant de sentir que je me sentais soulagée au fur et à mesure que je me vidais, encore, encore, encore. L'odeur nauséabonde de mes repas se mêlait à celle du savon et du shampoing, l'eau coulait, forte, froide, brûlante, incapable de vraiment me laver. Très vite, les vieilles douleurs du dos sont réapparues. Être courbée tandis que les intestins se tordent, se contractent, ça ne pardonne pas. Les genoux aussi se sont souvenu des douleurs d'autrefois, et en me relevant, j'ai cru qu'ils se déroberaient, que je tomberais, mais non, ils ont pu porter cette masse dégueulasse que j'étais.
Le silence est la "capacité" que les boulimiques-vomitives apprennent le plus vite. On mange en silence, on vomit en silence, vite, on efface toute trace de la crise, les yeux, l'odeur, le teint, on se tait, en silence. C'est en silence que j'ai pleuré, que j'ai nettoyé, que je me suis mordu les joues, que j'ai serré les poings. J'avais l'impression qu'une fille maigre décharnée se moquait de moi, pathétique et nue dans mon corps tant détesté, au milieu de la salle de bain qui m'était devenue presque inconnue.

J'ai pris une vraie douche ensuite. Peu à peu, l'odeur de javel a disparu, j'ai reconnu celle du shampoing, j'ai longtemps lavé mon visage, j'ai longtemps massé mon ventre, mon crâne, mon corps.
J'étais calme en sortant de la baignoire. Mia était partie depuis longtemps, mais je m'étais reprise.  Je me suis rhabillée, comme d'habitude, j'ai pris mon livre, comme d'habitude, nous nous sommes couchés, comme d'habitude.
Ce matin, j'ai bu un café. Je suis montée sur mon vélo, je me suis défoulée, puis j'ai enchaîné avec d'autres exercices. J'ai parlé avec le green-eyed man, nous avons mangé, normalement, j'ai fait une lessive, j'ai nettoyé mes lapins, j'ai glandé sur le net. Quand je pense à demain, je me dis que je dois travailler avec un enculé, mais ça, malheureusement, c'est souvent le cas, ma situation n'a rien d'extraordinaire. Je suis encore capable de rire avec les mômes, ils ont compris le present perfect continu vendredi, ma classe de fainéants a enfin appris ses verbes irréguliers, je peux faire des duels de regards avec mon chouchou, et je peux encore me moquer d'eux parce qu'ils se moquent de moi quand je leur dis que je n'ai pas de télé. Au final, tout va presque bien. Je n'ai pas mal au dos, et mes bras ne tremblent pas. Mon poids est normal, normal, normal, je ne suis pas une monstruosité. Les pensées de la veille me semblent risibles aujourd'hui. Mia est loin.

Je pense que je ne guérirai jamais, tout du moins, jamais entièrement.
Qu'à chaque période prolongée de stress, de détresse, de conflit, de désespoir, de manque de confiance, mes troubles reviendront peu à peu, ou du moins, se rapprocheront. Mais chaque crise est de plus en plus éloignée. Vraiment. Je n'avais plus vomi depuis plus d'un an, et si j'étais effrayée et désespérée en plein milieu de cette putain de crise, je me suis reprise très vite. Je n'ai pas ruminé sur ma faiblesse, j'ai avancé. Je me suis relevée. J'ai continué.
Oui, parfois, je cèderai. Je me dirai que je suis hideuse et laide et pathétique, et sur e moment, je le serai sûrement. Mais je saurai aussi que l'état d'esprit dans lequel je me trouverai sera temporaire, qu'il faudra le supporter, comme on regarde passer une tempête, violente et brève. Je saurai que ça ne durera pas.

Aujourd'hui, je me sens bien. Apaisée.
La crise m'a purgée de mes tensions, de mon stress, de ma colère. Un mal pour un bien.
Elle m'a vidée, dans tous les sens du terme. Vidée de la merde ingurgitée et de la merde ressassée.
Aujourd'hui, je suis bien.

Si hier j'étais par terre et à genoux,
aujourd'hui, je suis debout.
Et c'est bien la seule chose qui compte.

samedi 5 avril 2014

mercredi 2 avril 2014

72. Enc...

Je voulais checker un truc qu'on m'avait dit sur la retenue sur salaire. La copine d'une collègue lui a dit qu'on ne pouvait pas nous retenir plus de trois jours de grève par mois. Donc ayant fait 9 jours de grève, normalement, je vais avoir -300 euros / mois pendant 3 mois (vaguement, c'est pour simplifier le calcul)
Sauf que je n'ai trouvé nulle part cette info, au contraire, je suis tombée sur une news plutôt inquiétante.
Notre grève était reconductible et de ce fait, l'arrêt Omont qui stipule que "en cas d'absence de service fait pendant plusieurs jours consécutifs, le décompte des retenues à opérer sur le traitement mensuel d'un agent public s'élève à autant de trentièmes qu'il y a de journées comprises du premier jour inclus au dernier jour inclus où cette absence de service fait a été constatée, même si, durant certaines de ces journées, cet agent n'avait, pour quelque cause que ce soit, aucun service à accomplir ;
Donc. Je travaille lundi mardi jeudi vendredi. Mais je vais me faire entuber le mercredi, jour où je n'ai pas cours. 
Putain de ta race en slip. 
Je suis dépitée.

mardi 1 avril 2014

71. Trop

J'avais commencé à écrire, mais je n'en peux plus. Je n'en parle qu'au green-eyed man parce qu'il vit avec moi. J'en ai parlé hier pour la première fois à ma mère, et ça m'a saoulée. Je n'ai pas encore envie de ressasser tout ça, mais il faut quand même que je le dise.
Mon métier me dégoûte de plus en plus. Parce que j'ai une hiérarchie pourrie. J'ADORE LES GOSSES mais j'ai une HIERARCHIE POURRIE JUSQU'AU CUL.
Courriers, lettres, réunion, grève reconductible (4 jrs d'affilée, et 10 jours au total, je vais le sentir, mon salaire), entretien de la personne en question à la DRH et RIEN. RIEN PUTAIN. RIEN NE SE PASSE.  La meuf sort de son entretien CONTENTE, parce que sa HIERARCHIE LA SOUTIENT.
Mais avec toutes les merdes qu'elle fait, c'est PAS POSSIBLE. Et tout ça parce que notre PUTAIN DE CH3F refuse de s'engager et d'écrire un rapport sur elle. Mais écrire des rapports sur NOUS et nous pourrir nos dossiers, ça il peut et il le dit clairement ce FILSDECATIN. Ca me bouffe, ça nous bouffe, nous dégoûte.
J'arrive plus à manger au bahut, ça fait une semaine que je bois du bouillon (je mange à la maison, on ne s'inquiète pas), je suis tendue comme pas permis, alors que je fais mon boulot correctement, tout ça parce que je sais qu'au moindre faux pas de ma part je vais m'en prendre plein la gueule (.. bon en vrai je m'en fous, et mon dossier, j'en ai rien à cirer, je risque quoi ? une inspection ? un avancement ralenti ? Rien à iech) et toute cette merde à cause d'une CONNASSE MENTEUSE qui fait plein de choses ultra graves. Mais PUTAIN QUOI.
(Avec tout ça je suis heureuse que seules 3 personnes lisent mon blog parce que je risque gros, niveau insultes, là)
M'enfin.
Tenir.
2 semaines.
Puis vacances.
Puis 2 mois avec jours fériés.
Tenir.

Du coup je me remets à fuir dans la lecture.

Lu Expo 58, le dernier de Jonathan Coe(assez déçue, dommage)
En train de lire Winter's Tale de Mark Helprin (commencé jamais fini)
Relu L'écume des jours parce que Boris Vian quand je déprime, quoi (non pas Montherlant cette fois).

C'est pas plus mal.