jeudi 27 mars 2014

70. Résister

J'ai trouvé une idée de cadeau pour monsieur.
670 euros.
Hum.............

lundi 24 mars 2014

69. Panique

Un peu. Je ne suis pas totalement affolée mais j'ai un petit coup de pression. Genre, mes intestins qui se tordent. Pourquoi ?
Vendredi soir, nous faisons un câlin, avec monsieur.
Dimanche soir, je me rends compte que j'ai oublié ma pilule. HAHAHA.
Je fonce sur la notice, micro progestative : en cas d'oubli de plus de 12h, prendre le comprimé oublié, continuer de prendre les autres, protégez-vous, blablabla. Si l'oubli a eu lieu lors de la 1ère semaine de prise, et que vous avez eu un rapport la semaine précédente, vous risquez d'être enceinte.
On cogite (enfin surtout moi), monsieur me dit d'appeler le 15, car on peut appeler pour un conseil médical, et pas que pour les urgences, il l'a appris grâce à l'infirmière qui s'occupait de lui lors de son traitement lourd.
J'hésite, 22h, dimanche soir, j'ai pas envie de saturer le 15. Et de toutes façons, y'a rien à faire un dimanche soir à 22h. J'appellerai avant de partir au clg.

La nuit est horrible et, effet totalement psychosomatique, j'ai mal au ventre.
Je cauchemarde de notes absolument catastrophiques à toutes les épreuves de la Greuh (j'ai déjà rêvé avoir 2 en dissert' à l'interne, mais rêver de 0,25....) je me réveille, je transpire, je suis obligée de mettre un pyjama tellement je sue, je me rendors, rêve cette-fois que je fais un test, positif, et que monsieur se barre, me laissant en train de chialer dans la salle à manger mon test à la main. Glamour. Je me réveille, je me lève, pars boire, me recouche, etc.
J'ai passé la nuit à m'imaginer des trucs de dingue, et quand je m'endormais, les cauchemars étaient si réels que je n'avais pas l'impression, en me réveillant, d'avoir dormi (d'ailleurs je m'en souviens parfaitement).

7h50. J'appelle le 15, précise que ce n'est pas une urgence. On prend mes coordonnées quand même et on me file un médecin. Elle m'explique que pour la pilule du lendemain c'est trop tard, ça ne servirait à rien, qu'il n'y a rien à faire sauf ... un test dans 21 jours. Elle précise qu'un oubli, une fois, en milieu de plaquette, normalement le risque est très faible. Mais réel quand même. J'acquiesce, raccroche.
Mauvais trip, mauvais flip.

Je me raisonne.
En 2009, j'avais un kyste de 4cm, avec syndrome d'ovaires polykystiques, ce qui rend -normalement- toute tentative de grossesse un peu compliquée. Je me dis que, malgré la prise de la pilule, mon organise a dû garder un peu de ces "complications", et que, vraiment, le risque est tout petit petit petit.
Oui mais.
Il est là quand même.

Alors il n'y a rien à faire, sauf à maudire ma connerie, attendre, respirer, déstresser.
Mais je vais probablement être un peu tendue pendant les 3 semaines à venir...

dimanche 23 mars 2014

68. Bilan (2)

Nous ne sommes pas encore à la fin-fin-fin du mois de mars, mais je sais quand et combien je serai payée, donc je fais mon bilan aujourd'hui. Valà.
Premier constat, ma paye est sympathique mais ça m'emmerde : j'avais prévu que mes jours de grève seraient retenus en mars, du coup en prévision, j'avais fait des heures supp' pour compenser. Résultats, mes heures supp' sont payées, mais les jours de grève ne sont pas retenus. Hum. Alors on me dira, c'est pas si grave, tu mets plus de côté ce mois-ci, moins le moins prochain, oui mais moi, je suis un peu psychorigide  avec mes comptes, je n'aime pas avoir une super paye puis une paye amputée du tiers. Les hauts et les bas, j'en ai déjà bien assez avec mon humeur, alors si ça pouvait être stable niveau thune ça serait sympa, merci.
Donc oui, je mettrai plus de côté ce mois-ci mais ça me fait chier. Alors je suis tentée de faire des heures supp' ce mois-ci encore, mais le clg est en guerre (vaguement). Mes collègues ont prévu des actions de grève afin de virer la cp3 (ouais ouais) et il est hors de question pour moi de me désolidariser, parce que j'en ai ras la touffe de cette meuf. Donc, bon... On verra.

Sinon, donc, le bilan à proprement parler.
Mon challenge était de passer sous la barre des 50 euros d'achats non obligatoires.
Détail de la CB.
13 euros de bricorama : achat obligatoire pour réparer mon pneu crevé (hahalol)
24 euros de médocs non remboursés-ta-mère-d'étiquettes-oranges-mon-cul : achat obligatoire, pour calmer ma montgolfière personnelle abdominale.
35 euros de vernis  : achats non obligatoire futile et superficiel.
26 euros de ratp : achat obligatoire, fallait bien que j'aille passer mes exams, hein. (examen, exam-hein, hohoho)
25 euros de foin : achat obligatoire pour les pinous
14 euro livres : achat obligatoire, pour les livres au programme l'année prochaine.

J'ai donc réussi à faire moins de 50 euros d'achats non obligatoires.
J'ai eu pas mal de frais nécessaires, environ 100 euros, mais bon, justement, ça, je peux pas prévoir ni influer là-dessus.

Challenge avril, moins de 30 euros de frais non-obligatoires.

En bonus, un bon mois de courses communes aussi : 180 euros. Pour deux.

mardi 18 mars 2014

67. Méoui-Ménon

Je disais donc y'a 2 jours que j'en avais marre de la greuh. Aujourd'hui, en toute logique, aurait dû être LE jour où mon ras-le-bol atteint son maximum vu la honte éprouvée en rédigeant.
Dissert sur le sujet que je ne maîtrise pas, sur la partie où je comprends rien. J'ai pu blablater 7 pages de merde d'un plan en 2 parties sans nommer un seul évènement historique ni une seule date, je pense que le gars qui va corriger ça va se demander si je me fous de sa gueule, en fait.
Mais ce soir... Bah j'me sens pas trop mal. Genre, Ok, cette année, l'interne c'est foutu et l'externe ça part mal mais je le savais et de toute façon, le programme 2015, en fait, plus je le lis et plus je me dis qu'il roxxe du poney. Et EN PLUS, si les rumeurs le confirment, 2015 sera la dernière année où je pourrai présenter ce concours (je rappelle, il est question d'obligation de master, que je n'ai pas, pour passer l'interne). Donc en fait, ce soir, je me sens plutôt d'humeur folle/incompréhensible/totalement barrée à me lancer dans la Greuh 2015, dernier essai. D'ailleurs j'me suis dit que ce week-end, pour décompresser, je lirai Wilde et Shakespeare. Trop guedin la meuf. Et trop girouette aussi.
Je ne sais pas trop ce que je veux, je crois.  J'ai même pas l'excuse des hormones vu que j'ai pas mes règles depuis 6 semaines (NON je suis pas enceinte j'ai vérifié, c'est un des effet possible de ma pilule même si en temps normal, ça arrive quand même avant, l'arrêt des rouges).

Du coup, j'vais y aller en dilettante (presque), aux prochains jours. Genre, je suis persuadée que demain, ça va être la poésie qui va tomber. Ca fait une éternité qu'il n'y a pas eu de poésie, ça parait logique que le domaine britannique étant tombé en dissert, le domaine américain tombe en commentaire et on a le choix entre Wharton et H.D. Wharton, je la sens bien pour l'année prochaine justement. Donc bon. On verra bien dans quelques heures. Se préparer mentalement à cette éventualité, ça aide quand même.

Sur ce, j'vais relire deux trois trucs surs les imagistes et dodo. Yay.

dimanche 16 mars 2014

66. Ajout

Bon, Blogspot étant un blagueur il a coupé le message 64... J'ai fini de ré-écrire la fin, si ça vous intéresse. >ici<

65. M'enfin?

Rien à voir, mais je suis allée checker Publinet et je suis tombée sur la page des résultats d'admissibilité de la greuh en Sport et en Génie bio-truc. Alors autant le génie bio-truc je m'en contre-fiche, mais concernant le sport, j'ai zieuté, au cas où des noms familiers me sauteraient aux n'oeils (c'est le cas, d'ailleurs, 1 mec dont je suis sûre, qui était avec moi au clg Rep à Bbgn, et plusieurs autres noms m'évoquent vaguement quelque chose). Et puis je check le lieu des épreuves d'admission.
Wah.
C'est à Bellerive sur Allier.
Où ?
A Bellerive sur Allier.

...

Genre, pour être agrégé en sport, tu passes une épreuve de course d'orientation dans la France entière...
Alors ok c'est  côté de Vichy mais bon.

Quant à l'anglais, c'est LA SEULE MATIERE dont les futurs admissibles ignorent encore le lieu des épreuves d'admission. Je ne trouve ça pas très juste. Certes ça ne me concerne pas, mais si j'avais eu des chances, je sais que ça m'aurait, je sais pas, rassurée de savoir dans quelle ville se passeront les épreuves. Juste niveau financier quoi.
Il y a pas mal de matières dont les épreuves d'admission se passent à Paris, et si ça avait été le cas, c'était réglé. Pour d'autres, l'espagnol = Montpellier, H-G = Châlons en Champagne, enfin bref, savoir, c'est quand même utile, juste pour prévoir vaguement le coût du billet de train par exemple, et le coût d'un hôtel (un hôtel à Paris et un hôtel à "Bellerive sur Allier" ça coûte peut-être pas la même chose, hein).
Certes tout ça ne peut être payé/confirmé que lorsque les gens reçoivent leur convocation (genre 10 jours avant donc tarif PLUS-PLUS-DANS-TA-BOUCHE) mais savoir que ça s'passe chez toi / à 50 km / à 700km et que ton budget va s'étaler entre 0 / 120 / 500 euros, quand même, ça aide à prévoir le budget du mois qui précède, non ?

M'enfin.

64. DLM

DLM. Pour Date Limite de Motivation.
Et cette date, je pense qu'elle a été dépassée depuis quelques temps. C'est juste que, plongée dans la greuh depuis si longtemps, je ne m'en suis pas aperçue. Il n'y a qu'à voir. Dans deux jours, je passe les écrits, mais je ne travaille pas. Enfin, si, mais en surface. Je lis, mais rien ne reste. Tout s'envole.
Ce n'est pas vraiment du découragement ou de l'abandon. C'est juste que, comme toujours, ce sentiment de lassitude s'est emparé de moi. Je me lasse, et en réalité, c'est un miracle que j'ai tenu jusqu'à aujourd'hui. Je me lasse de sacrifier du temps libre, des loisirs, des activités qui me sont chères, pour rien. Je n'ai aujourd'hui plus envie d'apprendre. Je veux juste m'épanouir. Et si ma relation avec le green-eyed man m'a beaucoup apporté, j'aimerais désormais être épanouie dans mon travail. Sortir de cours en ayant fait des choses que j'aime et qui donc, seront plus susceptibles de me donner la pêche et donc, de motiver mes monstres. Et surtout, quand rien ne va au boulot, pouvoir tout lâcher sans me sentir responsable de ne plus étudier.

Mon père, j'en ai déjà parlé. La cinquantaine, sans diplôme, librairie vendue, etc. Il a eu la chance d'avoir un travail. Et cette année, il est en formation. En for-ma-tion. Il retourne à l'école. Il a des cours, sur l'aide à domicile, sur les soins aux personnes âgées, des cours. Lui qui n'a pas eu une scolarité normale et a du mal à écrire, il retourne à l'école. Depuis le début de l'année. Quand ma mère m'a dit ça, j'étais, sans le dire, incroyablement angoissée. Je m'imaginais mon père, comme le sont mes monstres : perdu et découragé. Mais je m'aperçois que je le connais mal. Sa formation, le mercredi et le jeudi, se passe bien. Et surtout, il y a une autre école qu'il fréquente. Une école d'art.
Il a côtoyé des peintres, avec leurs défauts, il fréquente désormais des cours prodigués par un vrai enseignant et bénéficie de réels conseils. Et il peint, et il dessine, et il progresse. Ses peintures ne seront jamais "magnifiques" (quoique) mais il progresse. Je le sens. Et si j'en suis admirative, j'en suis également jalouse. Pas une jalousie malsaine ou étouffante, non, mais une envie, un regret, une pointe de "j'aimerais".

Alors, depuis quelques temps, je rêve. Ce ne sont plus les rêves idiots de cagnotte de loto, non (quoique, bis). Ce sont des rêves un peu plus ancrés dans la réalité. 27 ans, il n'est pas encore trop tard. Je regarde, me renseigne, sur des cours, des formations à distance, je feuillette virtuellement énormément de galeries, de portfolios, de blogs d'illustrateurs/trices jeunesse. Je me documente sur les statuts d'indépendant, de micro-entreprise, rassurée par la possibilité de cumuler le statut de fonctionnaire + indépendant AJOUT: option "création artistique"

Cependant, je reste réaliste aussi. Si je veux, un jour, pouvoir être capable de mener ce projet à terme, il me faudra travailler. Genre, vraiment travailler. Reprendre des cours, travailler ma perspective, mes dimensions, l'ombre, le relief, me refamiliariser avec ces pinceaux, ces tubes d'huile et d'aquarelle que je ne maîtrise que peu, il faudra que je copie, beaucoup, pour me refaire la main, puis que je trouve ma patte, ma touche perso. Il faudra que je m'accroche, que j'apprenne à être modeste, à ne pas me décourager. Avec mon niveau actuel, impossible de prétendre à quoi que ce soit, il me faut d'abord rattraper les années d'abandon. De plus, je souffre d'un très gros handicap : je ne sais pas du tout utiliser Photoshop. Ce n'est pas vraiment un vrai obstacle, genre insurmontable, il existe une pléthore de tutos, même si apprendre avec une vraie personne, c'est mieux. Mais cela me demandera encore beaucoup de temps. Et je n'apprécie pas le dessin sur tablette. Ah tiens, en parlant de tablette, il faudra que j'en achète une, du coup. On attendra peut-être Noël. D'ici là, j'ai de quoi faire.
Des projets, des idées, de la motivation, un sourire. Peu à peu, cela me semble possible. Surtout que j'ai déjà un métier, je ne risque donc pas ma vie. Mais peut-être aussi que c'est ça qui me fait, me fera défaut. Si je ne me suis jamais lancée à fond dans la greuh, c'est parce que ce n'était pas vital, comme à l'époque du Capes. Ce projet, il n'est pas vital non plus dans l'absolu, est-ce que je tiendrai la route ? On verra.
Restons positif et réaliste. Ne pas mettre la charrue avant les boeufs. Avant de me lancer dans quoi que ce soit, on a dit : se remettre à niveau.


Il reste cependant un détail.
Avant de vraiment me lancer, il va falloir abandonner, enfin, annoncer l'abandon de la greuh. Super, à 2 jours des écrits de l'externe... et après avoir posé une demande de congé de formation.
Bon. J'ai la réponse du congé fin juin. Et j'ai 30% de chances de l'avoir, environ. Alors positivons.
Si je ne l'ai pas, je rendrai officielle ma décision d'arrêter la greuh, et pourrai commencer à travailler sur ce projet (qui me prendra du temps, sûrement 2-3 ans?). Je pourrai aussi arrêter de faire semblant et faire de vraies séquences et de vrais projets pour les mômes, ce sera bien.
Si je l'ai, ce qui est peu probable mais reste possible. Alors, je me donne une dernière, ultime chance pour la greuh. Parce que j'aurais eu cette chance d'avoir un congé, que ça ne se gaspille pas, qu'ils refusent de toutes façons les désistements, et que j'arrive beaucoup mieux à me concentrer sur une chose à la fois. Donc, en me focalisant sur mes études à temps plein, il y a plus de chances que j'y arrive (à tenir la route, pas à l'avoir mais bon). De plus, sans travail, j'aurai mes week-ends pour dessiner.

D'imaginer ça, ça me donne la pêche. Ca sera difficile, ça sera long mais... je pense que ça en vaut la peine.

J'aurai 28 ans cette année. Je commence à peine à me dire que, peut-être, ça serait pas mal d'essayer de faire quelque chose qui me plaît vraiment. Mieux vaut tard, tout ça tout ça.

vendredi 14 mars 2014

63. Zgrib

 C'est mal. Mais au lieu de réviser la greuh, je zgribouille... et je n'en ai absolument pas honte. Ca me calme, vu le contexte actuel du bahut (trop long, mais en gros, des grèves, du bordel, un conseil de disc', une gosse avec points de suture à cause d'un autre, une voiture renversée, des rumeurs qui disent que le ch3f aurait giflé un môme, ...)

Une mauvaise copie d'un dessin de >Sarah McCloskey<
Crayon, Feutre, 35 minutes

Mauvaise copie d'une photo de mode
Crayon, Feutre, 30 minutes

C'est pas terrible, mais ça fait assez longtemps que je n'ai pas touché un crayon, je me suis limitée dans le temps et j'ai pas de gomme...
Mouais. Ultra difficile de se passer de gomme, mais en même temps, un des meilleurs (... seuls ?) conseils que j'ai eus. Pas. De. Gomme. Si on efface, on oublie les erreurs et on les recommence. Et on ne progresse pas. (Moui j'essaie de me trouver des excuses)



mardi 11 mars 2014

62. Oups

Ce mois-ci, raté pour le challenge zéro euro.
Déjà en cours, 57 euros (frais ratp/sncf pour aller voir une copine qui me prévient au dernier moment, foin pinous et livres agreg 2015) et à venir, 23 de médicaments pas remboursés, 35 de consultation médecin. Frais quasiment obligatoires mais bon, c'est bof.
Du coup j'ai hâte / peur de voir ma paye pour refaire mes comptes.


Aujourd'hui, je ne suis pas allée travailler, étant enfermée chez moi mais je poserai une demande pour rattraper, avec mes deux jours de grève je ne peux pas trop me permettre de perdre encore 100 euros...
Ca promet une chouette semaine, de rattraper 6h de cours...

samedi 1 mars 2014

61. Aidémoua

Ceci est un appel à l'aide. Je SAIS que vous, là, les deux nanas qui lisent ce blog, vous avez quelques skills en cuisine. Alors.
Hier j'ai voulu faire des fondants au chocolat (non, ne me demandez pas ce qui m'arrive, je sais pas, en ce moment c'est passion-cuisine chez moi).
J'ai suivi cette recette : >ici< ou ci-dessous :
200g de chocolat noir, 120 g de beurre90 g de sucre5 oeufsdeux cuillères à soupe pleines de farine 
Préparation de la recette Fondant au Chocolat Coeur Coulant :1. Préchauffez votre four à 180°C (thermostat 7). Beurrez des portions individuelles, ramequins, bols ou tasses, que vous pourrez utiliser au four.2. Cassez le chocolat en morceaux. Mettez 6 carrés de chocolat de côté.3. Faites fondre le chocolat restant avec le beurre, dans une casserole à feu doux.4. Mélangez les oeufs avec le sucre et fouettez jusqu'à obtenir un appareil plus clair et mousseux. Ajoutez ensuite la farine. Versez le chocolat fondu dans la préparation et mélangez bien.5. Versez la pâte dans les moules individuels. Disposez un carré de chocolat dans chacun d'eux et enfoncez-le légèrement pour qu'il disparaisse. Enfournez pendant 9 minutes.
Voilà le résultat :
Ca n'a l'air pas trop laid. Sauf que.
Je les ai faits hier soir, nous ne les avons donc pas mangés de suite, mais ce matin. Constat :
- 180° pendant 9min, trop court/pas assez chaud. A 9 min, c'était encore liquide, impossible à sortir des moules. J'ai donc remis et attendu 12/13 min environ.
- Du coup, cuisson pas trop mal mais beaucoup beaucoup trop dense. Attention, je dis dense, pas "esbrouffe" comme on dit dans le sud. C'était relativement moelleux mais, je sais pas, ouais, dense, c'est le mot. Trop de chocolat ? Trop d'oeufs ? Votre avis ?
- le carré à l'intérieur n'était pas fondu. J'ai utilisé un carré de chocolat noir pâtissier N3stlé. Vous savez pourquoi cet enfoiré n'a pas fondu ? (même si on les a mangés froids, j'imagine qu'il n'a pas fondu hier soir et s'est reconstitué par magie cette nuit) C'est la marque peut-être, faut pas du choco pâtissier ?
Bref voilà.

Si vous avez une recette miracle, des trucs et astuces pour des vrais fondants que quand tu les ouvres avec ta cuiller, le chocolat il dégouline, je suis preneuse.
(... mmm, c'est pour ça que je fais 80min de vélo presque par jour, hein....)